Le blog de LAURA GAULE

Bonjour à toutes et à tous,

Allez, suivez-moi, je vous fais visiter, aujourd'hui, Agios Nikolaos (prononcez : ayos Nicolaos, ce qui veut dire Saint Nicolas)

Cette ville est la capitale du Lassithi et se trouve à une bonne soixantaine de kilomètres d'Héraklion. Érigée sur le bord d'un des plus beaux golfes de Crète, le golfe de Mirabello, Agios Nikolaos demeure un petit port bordé de maisons colorées toutes construites en terrasses.

Il y fait bon flâner au soleil printanier,

et, pourquoi pas, s'installer à la terrasse d'un café pour y déguster, en avant-goût de l'été, une délicieuse glace,

tout en regardant les bateaux de pêche s'accoster aux quais.

La particularité d'Agios Nikolaos réside en un canal, construit à la fin du 19ème siècle, reliant le port à un lac intérieur : le lac de Voulisméni.

Autrefois, il portait le joli nom de "Bassin d'Artémis"

Nous pouvons en faire le tour en longeant, d'un côté, ses rives aménagées, et, de l'autre, des bâtiments de style vénitien.

Ne serait-il pas doux d'occuper un de ses magnifiques balcons ?

A  moins que vous ne préféreriez la terrasse supérieure aménagée en jardin d'éden ?

Mais continuons plutôt notre chemin et faisons le tour, ensemble, du lac, voulez-vous ?

Une succession de troquets et restaurants nous narguent.

Petits bateaux deviendront-ils grands ?

Puis, doucement nous amorçons une montée pour nous retrouver à surplomber le Voulisméni dans presque sa totalité.

Une légende nous raconte que s'il est si bleu, c'est parce qu'il reste sans fond !

Je vous rassure tout de suite, il fut sondé à l'époque de la construction du canal et le maximum de profondeur fut relevé à 64 mètres. Cependant, gare à celle ou celui qui y tombe sans savoir nager !

Doucement notre chemin, en descente cette fois, nous amène devant une petit église de pêcheurs, accrochée au rocher.

Au-dessus de sa double-porte, deux poissons enlacent une ancre de marine,

nous rappelant que la Mer Egée demeure, à certaines heures, bien dangereuse.

Quant à sa porte, elle dévoile un lion ailé stylisé qui n'est pas sans nous faire penser à celui de Venise....

Ne l'oublions pas, la Crète fut occupée par les vénitiens durant plusieurs siècles.

Soudain, un miaulement rauque mais sympathique attire mon regard.

Bonjour, gentil minou ; est-ce toi le gardien du lieu ? Remplaces tu le lion de Venise ?

Je vous l'ai déjà dit : la Crète reste l'île aux chats ; il y en a partout !

A moins que notre mignon félidé ne soit l'heureux compagnon d'un des pêcheurs et surveille ainsi, non seulement les intrusions, mais également, l'arrivée du bateau, en quête de quelques succulentes récompenses écaillées !

Voilà, nous avons presque fait le tour du lac, encore quelques pas et la "boucle" sera fermée !

Maintenant, promenons nous un peu dans la ville.

Les rues sont propres et récemment pavées.

Quelques échoppes ouvertes proposent déjà aux premiers touristes, que nous sommes, plusieurs produits locaux.

J'avise une porte ouverte. Je m'y faufile et pénètre dans une petite église orthodoxe coincée entre deux immeubles.

Là encore, les icônes sont flamboyantes !

Mais dépêchons-nous, nous devons rejoindre déjà notre car.

En route pour Elounda.

Mais cela sera pour une autre fois.......

Très bonne fin de journée à tous.

Avec toute mon amitié.

LOLO

Aujourd'hui nous sommes à la Saint Thomas : patron des architectes, dont mon fils aîné fait partie depuis cette semaine, grâce à sa réussite au passage du diplôme !

Bonjour à toutes et à tous,

Juste un petit mot aux nouvelles et nouveaux inscrits à la "newletter" et intéressés par les grilles que je viens de proposer.

Tout d'abord un grand merci à celles qui m'ont laissé un petit mot ; sans elles, cette rubrique n'existerait pas.

Si d'autres personnes se sont inscrites sans me laisser un petit commentaire, je ne peux avoir leurs coordonnées "mail" ; soyez assez gentilles, chères copinettes, d'accepter de faire votre demande. A sa suite viendra donc ces 2 PDF.

Ici, le soleil est enfin de retour sur l'Auvergne ! Profitez bien de lui, on en a tous besoin.....

A toutes et tous je souhaite une agréable journée.

Toute mon amitié.

LOLO

Bonjour à toutes et à tous,

Nous sommes toujours sur le Plateau de Lassithi à 900 mètres d'altitude, dominés par le Mont Séléna de la chaîne Dikti.
Non loin de la grotte du même nom, se trouve un petit monastère. Il est connu, non pas pour son ancienneté, mais pour sa vierge miraculeuse.

La plupart des monastères, durant l'occupation turque, qui je le rappelle a pris fin en 1898, ont été interdits de culte et la plupart des églises ont été transformées en mosquées ou détruites. Beaucoup sont encore cachées dans des grottes car clandestines à l'époque.

La majorité de ces bâtiments ont été restaurés récemment ou le sont actuellement.

Mais la néophyte que je suis en matière de religion orthodoxe, est éblouie par la multitude d'églises toutes peintes et sujettes à une dévotion qui impose le respect.

C'est au Monastère de Vidiani que je pénètre, pour la première fois, dans une église orthodoxe.

Lorsque le car s'arrête à quelques tours de roue de là, c'est un mouton qui nous souhaite la bienvenue, laine au vent, et le bêlement affectueux. Déjà tout un symbole !

Sa luxuriante fourrure à portée de nos doigts, je ne peux m'empêcher de la caresser. Visiblement habitué à ces gestes de sympathie, son museau luisant sent mes mains. Satisfait d'avoir reniflé l'amie, il retourne près de ses congénères qui continuent, indifférents, à brouter voracement l'herbe du plateau.

Pâques reste un moment très inquiétant pour tous ces ovins ; au menu pascal figure traditionnellement leur viande. J'espère que celui que j'ai caressé eût la vie sauve.....

Parmi tous ces petits herbivores, le monastère est bien là, modeste et caché dans des frondaisons : pas de doute le panneau nous le confirme.

Seule, une croix toute simple atteste de la sainteté du lieu : le silence est de mise, bien que le bâtiment ne soit plus habité. Seule l'église continue à exercer, comme un aimant, son attrait. Un petit jardin ,qui commence à fleurir, abrite dans un coin un ouvrier qui taille une pierre, oeuvrant pour la rénovation du lieu.

Devant la petite église une fontaine nous accueille. Elle ne fonctionne qu'en été pour apporter un peu de fraîcheur aux visiteurs.

Avant d'entrer, il est de coutume de se munir de cierges, après avoir fait un don. Trois sont nécessaires pour exhausser votre souhait : un pour vous, un pour votre famille et un dernier pour tous les autres.

Les bougies artisanales sont fabriquées grâce aux abeilles crétoises.

Le miel est, ici, une institution et demeure délicieux. Il est toujours, et depuis l'antiquité, considéré comme une substance sacrée.

Le plus fameux reste le miel de thym qui aromatise les tisanes de dictame (ou thé crétois), espèce d'origan qui pousse sur les versants des montagnes crétoises et dont la renommée remonte également  aux temps antiques. En effet, Hippocrate fut le premier à le recommander aux femmes enceintes dont la grossesse présentait des risques d'avortement....

Mais visitons maintenant, si vous le voulez bien, la petite église du monastère.

Et n'oubliez pas, faites un voeu, un don et prenez trois cierges !

Entrons.....

Première impression : cela sent le propre, pas un gramme de poussière : les coins de sol restés nus sont rutilants. Aucune résonance, les bruits sont feutrés par d'épais tapis aux endroits de passages. Partout d'innombrables icônes reflètent la lumière, flamboyantes d'or et de couleurs vives.

On ne sait où regarder : il y a tant à admirer !

Même le lustre possède ses propres icônes et ses broderies !

Des encensoirs argentés pendent, accrochés aux panneaux de bois lourdement sculptés qui cachent le saint espace. Les scènes bibliques se succèdent.

Des soies jaunes sont tendues ça et là.

Admirez ce magnifique Christ au visage doux et aux traits fins.

A moins que vous ne préfériez cette vierge à l'enfant.

Son air inquiet semble nous dire : "prenez soin de mon petit !"

Mais une autre Madone m'interpelle. Elle est enchâssée dans un meuble en bois surmonté d'une croix. Elle ne porte pas de couronne mais se détache sur un fond couvert d'or. Au-dessus de sa représentation, sont suspendues de petites plaques d'argent qui symbolisent tous les voeux exhaussés.

C'est elle, la vierge miraculeuse !

En cette veille de Pâques, elle est fleurie tous les jours.

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Même les fauteuils détiennent leur propre icône.

Au plafond, trois rosaces sont représentées juste au-dessus du Christ en croix.

Seule, une fissure vient perturber l'équilibre de ce lieu hors du temps.

Une autre Vierge est ceinte d'une couronne de fleurs fraîches : elle sera ainsi fleurie pendant toute la période pascale.

Avant de sortir de l'église, je m'arrête devant ses deux visages graves.

Je suis de passage et en vacances, mais eux veillent sur nous les voyageurs, visiteurs et pénitants, depuis combien d'années ?

Et après la nourriture spirituelle, notre car s'est arrêté un peu plus loin, toujours sur la Plateau de Lassithi, dans un de ses charmants villages, pour la pause-déjeuner.

Au menu, rôtis de porc ou poulets cuits au four, accompagnés de pommes de terre cultivés sur le Plateau......

A côté du restaurant, une boutique expose quelques produits de l'artisanat dont ce tapis représentant l'île et ses principaux sites.

Voilà ce qui se fait avec la laine des moutons du plateau.

Avant de quitter le Plateau de Lassithi nous franchissons un col, où de part et d'autre de la route, de vieux vigiles vénitiens occupent encore la crête. Il s'agit de vieux moulins à grains qui dominent ainsi pour prendre le vent jusqu'à la mer.

Malheureusement ils sont en ruine mais l'endroit reste remarquable par son fantastique panorama. On pourrait presque voir la Grèce au bout de l'eau !

Un seul semble en état de fonctionner ; ses ailes sont pliées en attendant qu'Eole vienne lui souffler quelques brises.

Ses voisins, eux, ont moins de chance ; ils espèrent toujours  une rénovation et tendent vers le littoral, désespérément, leur squelette de leurs ailes brisées.

Une vieille meule est restée en place, arrêtée dans son ouvrage depuis bien longtemps !

Mais il nous faut quitter l'endroit et redescendre vers Agios Nikolaos.

L'après-midi ne fait que commencer...

Une prochaine fois, je vous ferez flâner sur les quais d'Agios Nikolaos.

A bientôt et

Kalespera !

Avec toute mon amitié.

LOLO

Dicton du jour : "Le jour de Saint-Maximin

                         S'embaume le jasmin"

Bonjour à toutes et à tous,

Maintenant que nous sommes bien installés et que nous avons fait un petit tour dans les proches environs de notre hôtel, nous sommes prêts pour notre première journée de découvertes.

Et le programme est chargé pour ce Samedi 27 Mars 2010.

Mais tout d'abord, savourons le lever du soleil.

Tiens, nous avons une curieuse qui nous roucoule son "bonjour" !

Et nous voilà, confortablement assis dans notre car.

Nous nous dirigeons vers le Plateau de Lassithi pour grimper et découvrir la Grotte Dikti.

Nous laissons le bord de mer derrière nous et, très vite nous prenons de l'altitude par une route à lacets. Où que l'on soit, la Mer Egée s'étend jusqu'à l'horizon. A trois cents kilomètres et à vol d'oiseau se trouve La Grèce.

Après le franchissement d'un petit col, nous arrivons sur un plateau limité par une chaîne couverte de neige. Il s'agit de la Montagne Dikti, dont le sommet culmine à 2148 mètres.

Et nous sommes maintenant parmi des champs d'oliviers aux pieds desquels poussent un genre de "moutarde" sauvage.

N'oublions pas, que l'olivier en Crète est l'arbre-roi.

Durant l'antiquité déjà, Sophocle le décrivait comme "arbre béni", "arbre immortel, invincible...". C'est pourquoi il reste aujourd'hui le symbole de la paix et l'emblème de la victoire. La mythologie grecque nous dit qu'il serait un don de la déesse Athéna et né en Crète, aux sources du Triton.

Aujourd'hui, on estime qu'il y a  ici, 27 millions d'oliviers, soit 57 arbres par crétois ! Ils couvrent plus de la moitié des surfaces cultivées de l'île.

J'ai aussi noté, sur un petit bout de papier, que cela représentait environ plus d'un million d'hectolitres par an, soit 30% de la production grecque.

C'est pourquoi, l'olivier est une source de revenus non négligeable pour le crétois et reste un complément de salaire intéressant pour presque tout le monde.

Mais l'olivier demande beaucoup de travail : un labour de printemps, un autre d'automne, la cueillette de ses fruits qui s'étale de septembre à février, et un arrosage quotidien bien qu'il ne soit pas exigeant, sans compter sa taille. En général, il ne produit bien qu'une année sur deux. Et c'est le vent qui se charge de sa pollinisation.

Rappelons qu'il faut cinq kilos de fruits pour produire un litre d'huile. Mais on estime que sa rentabilité maximale n'est atteinte qu'au bout d'une trentaine d'années !

Certains oliviers centenaires sont encore capables de produire 300 kilos d'olives !

L'arbre se rencontre jusqu'à 600 mètres d'altitude.

Nous traversons quelques villages dont les maisons ont, pour la plupart ,des toits en terrasses.

  Et pardon pour les quelques vilains reflets de vitre que je n'ai pu éviter !

Rares sont les toits rouges. Quelques uns se détachent cependant,. Regardez bien,  ce sont, principalement, ceux d'une église !

 Nous franchissons un dernier col et hop ! Nous découvrons alors, un immense plateau bariolé de champs colorés de différentes teintes brunes  jaunes, vertes. C'est le Lassithi.

Nous sommes à 900 mètres d'altitude. Et le mont qui le borde, au fond, s'appelle Séléna (1599 mètres). Quelques névés s'y accrochent encore.

Depuis l'antiquité, le Plateau de Lassithi, a une vocation de refuge pour les différentes civilisations qui se sont succédées. Ainsi en 1100 avant J.C, lorsque les Doriens envahirent la Crète, les autochtones vinrent s'y abriter. Plus tard, lorsque les Vénitiens, puis les Turcs après eux, voulurent imposer leur domination, la résistance s'organisa ici.

Ce sont les vénitiens qui ont mis au point des éoliennes pour pomper l'eau du plateau, alors marécage, et ainsi arroser les champs. Ce système a donc au moins 650 ans !

Le plateau est habité toute l'année. On y cultive des céréales, des pommes de terre et des fruits.

De temps en temps, se dresse le squelette de fer d'un ancien moulin aux ailes malheureusement paralysées.  Car les éoliennes sont depuis longtemps, hélas, remplacées par des pompes à moteur.

  Celle-ci doit pouvoir encore fonctionner; ses ailes de tissu sont enroulées sur les axes.

  Et voilà ce que cela devait donner lorsque tous les moulins étaient encore tous en action. C'est pourquoi on appelle le plateau de Lassithi : la vallée aux 10 000 moulins.

Notre car s'est arrêté.

Nous devons grimper à pied maintenant pour découvrir la Grotte Dikti.

  Les champs cultivés forment un immense patchwork

  Nous dominons bientôt le parking où est stationné notre véhicule ainsi que le petit village.

Au bord du chemin, le printemps est bien là. Un cyclamen sauvage d'un blanc éclatant, darde tous ses efforts pour tendre vers nous sa corolle.

Un peu plus loin, c'est une variété d'orchidée sauvage jaune qui nous souhaite la bienvenue.

  Puis une autre, de couleur parme

Et encore une suivante, toute aussi délicate !

  Puis soudain, nous nous trouvons devant l'entrée de la grotte.

Je me dois de vous parler de la légende qui s'y attache.

Pour cela, il va falloir revoir sa mythologie.

Rassurez-vous, je ferai court.....

C'est ici, dans ce gouffre profond, humide et noir que serait né Zeus.

Ce dernier a pour père Cronos et pour mère Rhéa.

Cronos est fils d'Ouranos et de Gaïa (le Ciel et la Terre) qui eurent de nombreux enfants : les Titans. Ouranos en était jaloux et les confinait dans les entrailles de la terre. Gaïa encouragea le plus courageux de ses fils, Cronos, à résister à son père. Cronos mutila une nuit son père à l'aide d'une faucille que sa mère lui avait offerte. Des gouttes de sang tombèrent à terre et apparurent ainsi les Furies et les Géants. Du sang qui coula dans la mer naquit Aphrodite.

Ouranos vaincu, abandonna la terre aux Titans.

Cronos et sa soeur Rhéa, dont il fit sa femme, devinrent les maîtres du monde. Mais Ouranos prévint son fils, que lui aussi serait un jour détrôné par le sien.

Cronos prit alors la décision d'avaler ses enfants dès que Rhéa accouchait.

Triste, celle-ci, après plusieurs accouchements, et les conseils avisés de Gaïa, prit la fuite pour se cacher et mettre tranquillement au monde son bébé afin de le voir grandir. Et c'est dans la grotte Dikti que naquit ce bébé, qu'elle garda caché le plus longtemps possible. Il fut nommé Zeus.

En contre partie, elle présenta à Cronos une pierre emmaillotée qu'il prit pour le nouveau-né et qu'il se dépêcha d'avaler.

Zeus fut nourri par la chèvre Amalthée et gardé par les Curètes (jeunes hommes à demi divins). Ceux-ci, pour que les cris de l'enfant ne soient pas entendus, agitaient leurs armes et dansaient bruyamment.

Ainsi Zeus eut la vie sauve et put, par la suite, détrôner son père, avec l'aide des Titans, après un combat qui dura dix ans. Les vaincus furent enfermés dans le Tartare, au fond des Enfers et Zeus put régner sur l'Olympe.

  Afin d'atteindre le petit lac tout au fond, il nous faut descendre une centaine de marches.

Et vue ainsi, la grotte prend l'aspect d'un gouffre très humide dont les parois sont couvertes de mousse.

Et puis, soudain, comme par enchantement, la terre nous offre son meilleur travail : une myriade de stalactites (tombent) et de stalagmites (montent) que des spots lumineux éclairent.

A gauche, n'est ce pas Rhéa qui tient haut dans ses bras son nouveau-né ?

Une prochaine fois, je vous ferai visiter le Monastère Vidiani qui est aussi sur le Plateau de Lassithi....

En attendant, je vous offre cette orchidée, en cadeau du soir.

A toutes et à tous je souhaite une bonne soirée.

Avec toute mon amitié.

LOLO

Dicton du jour : "A la Saint Sylvain, rosée de mai, fait tout beau ou tout vilain".

Bonjour à toutes et à tous,

Je viens vous faire part de l'exposition

     "REGARDS D'ARTISTES SUR L'AUVERGNE" 2010

             Elle se déroulera à la Maison de La Culture à Clermont Ferrand,

                  SALLE CHAVIGNE (entrée Rue Abbé de l'Epée)

du JEUDI 29 AVRIL 2010 AU VENDREDI 21 MAI 2010

                       de 14 heures à 19 heures

                                                                                     tous les jours : week end compris

Le vernissage aura lieu Mercredi 28 AVRIL 2010 à 18 heures 30

Je vous rappelle que cette manifestation est organisée par L'ORACLE

REGION INVITEE EN 2010 : LES FLANDRES

Pour celles et ceux qui ne pourront venir au vernissage, j'assure une garde le Mardi 11 MAI 2010 et serait toujours aussi ravie de vous accueillir.

Enfin, pour les personnes chères à mon coeur et trop éloignées, kilométriquement parlant, voici les oeuvres me concernant et qui ont été sélectionnées par le jury :

Gilles : en hommage à la région invitée : acrylique sur isorel

Le bassin du Pourliat en Automne : huile sur isorel

Lac Chambon en automne : huile sur isorel

Lac de Servière en hiver : huile sur isorel

L'hiver du côté de Laschamps : huile sur isorel

Le voyage des Rois Mages d'après un vitrail de la cathédrale de Clermont Ferrand (Chapelle Sainte Anne) : technique patch vitrail

ALORS VENEZ NOMBREUSES ET NOMBREUX NOUS ENCOURAGER !

Je vous attends .........

Très bonne fin de journée.

Avec toute mon amitié.

LOLO

Sourire du jour : dicton marseillais : "Si tu as envie de travailler, assieds-toi et attends que cela passe !"....